Selon un sondage publié par Equifax la semaine dernière, 23 % des millénariaux (et plus globalement 12 % des Canadiens) seraient prêts à mentir sur leurs revenus afin d’obtenir un plus gros prêt hypothécaire.
Toutefois, le sondage ne dit pas si ces personnes seraient prêtes à vivre avec les conséquences que ce geste peut entraîner, autant sur le plan des finances personnelles que sur le plan individuel.
D’un point de vue légal, il n’y a pas d’ambiguïté : le fait de mentir sur ses revenus dans le but d’obtenir un plus gros prêt hypothécaire est considéré comme une fraude. La personne qui fait ce genre de fausse déclaration pourrait s’exposer à des poursuites criminelles.
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